De l’huile d’olive, oui, mais pas n’importe laquelle !

J’ai regardé récemment un documentaire sur France 5 qui traitait des huiles végétales en général (dont l’huile d’olive bio). On y voyait notamment le chef Juán Arbelaez donner son avis sur plusieurs huiles d’olive. Voilà quelques principes que j’applique pour faire mon choix, ainsi que les conclusions du chef :
- Privilégiez les huiles d’olive bio avec une origine unique, claire et identifiée.
- Évitez l’huile d’olive bio originaire de Tunisie. Dans une étude de 60 Millions de consommateurs parue en mars 2018, « Les huiles de Tunisie sont globalement les plus contaminées en plastifiants et en HAP (hydrocarbures aromatiques polycycliques) », indique le magazine.
- L’huile d’olive bio de marque Auchan est à éviter. Pour ma part je ne l’utilise plus depuis un bon moment. Pour mon petit palais « non éclairé », je la trouvais inutile, elle n’apportait rien à un plat. D’après le chef, elle est mauvaise, probablement pressée directement avec les noyaux.
Je prends maintenant l’huile d’olive bio « Bio Planete », origine Portugal (sûrement un peu aussi pour l’affection que je porte à ce pays !) qu’on trouve notamment à Biocoop. J’alterne entre la fruitée medium et la fruitée (au goût plus prononcé).
Les bienfaits de l’huile d’olive
Dans tous les cas, il faut garder en tête que les Oméga 3 et 6 ne sont pas produits par l’organisme et notre corps en a besoin pour bénéficier de leurs effets anti-oxydants. Les médecins s’accordent sur le fait que si on ne devait n’utiliser que 2 huiles, ce serait l’huile d’olive vierge et l’huile de colza vierge. La combinaison des deux assure un bon équilibre d’apports entre Oméga 3 et Oméga 6.